Mikyle McIntosh, le golgoth canadien, bosse pour retrouver la grande forme

La petite chaise n’en mène pas large à l’heure où Mikyle, le poste 4 international canadien, pose ses (très) solides cuissots pour nous faire part de ses premières impressions. Zen, très zen, le nouveau golgoth portelois semble à l’aise dans ses baskets au Chaudron. Il a quelques kilos à perdre et ne rechigne donc pas à la tâche. Mais en le faisant avec prudence. La préparation est longue. Le staff veille à ne pas prendre de risques inutiles.

Mikyle, quel ressenti as-tu sur tes premiers pas portelois ?

Je suis très content d’être ici. Le cadre me plaît bien. C’est une jolie petite ville. Je sens que le club est bien organisé. On bosse dans une belle salle, mais j’ai aussi aimé courir sur la plage. C’est vraiment un bel endroit. Quant à ma motivation première de venir ici, elle est très claire : l’envie de jouer dans un championnat réputé comme la Jeep Elite. Je veux aider le club à progresser.

Regardais-tu, connaissais-tu la Jeep ?

Non, pas vraiment. Mais je connais pas mal de connaissances dans le basket qui ont joué ou connaissent la Jeep. Ils m’ont dit que c’était une division très compétitive. Et quand je regarde les CV qui signent en Jeep, je m’attends clairement à un championnat relevé et costaud.

Comment te sens-tu physiquement ?

Je compte mettre la pré-saison pour être au top car au Canada, pendant le confinement, l’accès aux salles de sport était très compliqué, voire impossible. Je mets donc tout mon potentiel pour bosser fort et être fin prêt au début de saison.

Philippe Cadart (avec Pierre Bourdon)
Photo : L’oeil du Nord

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