Cole fait chauffer la colle
Bon départ des Portelois face à l’impressionnante armada de la Roca Team ((7-2, 3e), mais les entrée en jeu de Ouattara et surtout de Noris Cole, double champion NBA avec Miami (!) , allaient changer la donne. Cole claquait six points de rang et Monaco s’échappait (7-14) pour finalement virer à + 8 à l’issue du premier quart : 10-18.
Le surpuissant Monaco déroule : 21-44
Dur, très dur, voire impossible pour les Portelois d’aller attaquer le cercle face aux surpuissants Monégasques. Comme les Vert et Blanc ne trouvent pas la mire, la Roca Team prend inexorablement le large grâce à Ouattara, qui s’enflamme lui-aussi et l’excellent Dee Bost. Au repos, l’équipe de Jacky Périgois, qui dirige-là son premier match en tant que coach 1 au Chaudron, ne peut que constater les dégâts : ce Monaco est bien trop fort. Ouattara est déjà a 15 points, Cole à 9, Bost à 8. Le différentiel des “évals” est cruel : 10 à 55.
Monaco ne lâche rien
Quand vous avez un coach de la trempe de Sasa Obradovic sur le banc, pas question de relâcher la pression, même avec plus de 20 points de mieux. La Roca ne lâche donc pas grand chose dans le 3e quart. Côté Stelliste, Pierre-Etienne Drouault se bat comme un beau diable. Il cueille des rebonds, fait une belle passe decsive pour Ousman Krubally et marque. L’ESSM est à -22 (30e). Harrison a mis un seul petit point. Mention aux Musicos qui n’abdiquent pas malgré le manque de suspense total et la supériorité indiscutable des Monégasques : 41-63.
Les Stellistes adoucissent un peu la note, mais cette Roca Team était hors d'atteinte : 60-83
Obradovic laisse Cole et Bost sur le banc. L’ESSM , par Jo Tabu (16 points et 4/7 à 3 points), Joe Alexander et Pierre-Etienne Drouault en profite pour amenuiser un peu la punition (60-83), mais de toute manière, il n’y avait pas, il n’y a pas photo entre l’ESSM et Monaco. On le savait avant. On l’a vérifié.