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Sur le papier, c’était mission impossible. Dijon, récent médaillé de bronze en DCL, devait se balader au Chaudron. Mais parfois, du papier au parquet, il y a des turbulences, des vents contraires qui viennent secouer la carlingue et remettre en cause le cap défini par les grands

Ça y’est ! Ma belle chemise blanche, mon écharpe verte ressorties du placard : ce soir, c’est enfin match au Chaudron ! 7 mois sans Chaudron, on survit bien évidemment mais il manque cet ingrédient qui épice et participe à la saveur du quotidien. Supporter

L’entraînement à J-1 vient de se terminer. Alors que certains taquinent encore le cercle, Benoît Mangin, l’ancien, se pose. Le meneur a tout connu avec les Vert et Blanc depuis 2011. La Pro B à Boulogne, le déménagement à Giraux, ce mini-Chaudron où furent ventilés

Après de très, très longs mois d’absence, les Vert et Blanc retrouveront donc leur Chaudron demain lors de la venue des redoutables Dijonnais, tout auréolés qu’ils sont de leur médaille de bronze en « BCL » acquise en Grèce la semaine dernière. Fidèle à son habitude, le

Chers Supporters, Chers Partenaires Je souhaite tout d’abord m’adresser à tous les abonnés de cette nouvelle saison. En effet, après l’arrêt prématuré de l’exercice précédent, la préparation d’avant-saison difficile suite aux cas de COVID-19 au sein de l’effectif, aux joueurs blessés et au climat anxiogène

Bien entendu, comme tous les entraîneurs, le mentor de l’ESSM aurait préféré que ses Vert et Blanc négocient mieux le troisième quart et amènent les Limougeauds à douter dans un Beaublanc qui devient vite sévère quand leurs favoris perdent. Mais compte tenu de tout ce

A l’occasion de la prochaine réception de Dijon, le spectre d’un quasi huis clos et d’une jauge extrêmement limitée planait à nouveau au-dessus du Chaudron. A défaut d’une fumée blanche au-dessus des toits de la Sous-Préfecture, pas de fumée noire : les représentants de l’Etat viennent

Perdre un père est une épreuve qu’on ne traverse pas sans souffrir, sans rouvrir longuement le livre de la vie. Le sien. Le nôtre. Celui de la famille. En nous appelant, c’est ce qu’a fait François Coppin, le plus fou furieux des dirigeants stellistes, celui